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Tu me disais : « Je me vois non seulement incapable de progresser sur mon chemin, mais même incapable de faire mon salut — ô ma pauvre âme ! — sans un miracle de la grâce. Je suis froid et, pire encore, comme indifférent, comme un spectateur de mon propre « cas », insensible à ce qu’il voit. Est-il possible que ces jours-ci soient stériles ?
« Et pourtant ma Mère est ma Mère, et Jésus est — oserai-je le dire ? — mon Jésus ! Et il est des âmes saintes, en ce moment même, qui prient pour moi .»
— Continue d’avancer, en donnant la main à ta Mère, t’ai-je répondu, et « ose » dire à Jésus que tu es sien. Par sa bonté, il inondera ton âme de clarté.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/251/ (13 mai 2024)