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Aujourd’hui, plein de confiance, j’ai de nouveau formulé cette demande : Seigneur, que nos misères passées et déjà pardonnées ne nous inquiètent pas ; non plus que la possibilité de tomber dans d’autres misères ; abandonnons-nous entre tes mains miséricordieuses ; exprimons nos désirs de sainteté et d’apostolat, présents comme des braises sous les cendres d’une apparente froideur…
— Seigneur, je sais que tu nous écoutes. Eh bien ! toi aussi, dis-lui la même chose.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/426/ (13 mai 2024)