685
Si pour te libérer, l’on avait emprisonné l’un de tes amis intimes, ne chercherais-tu pas à lui rendre visite, à bavarder un moment avec lui, à lui apporter des petits cadeaux, la chaleur de ton amitié, une consolation ?… Et si cette conversation avec le prisonnier avait lieu pour te délivrer, toi, d’un mal et te procurer un bien…, y renoncerais-tu ? Et, si au lieu d’un ami, il s’agissait de ton propre père ou de ton frère ?
— Alors !
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/685/ (13 mai 2024)