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« Non habemus hic manentem civitatem » — notre demeure définitive ne se trouve pas sur cette terre. — Et, pour que nous ne l’oubliions pas, cette vérité apparaît parfois crûment à l’heure de la mort : incompréhension, persécution, mépris… — Et toujours la solitude, parce que, même si nous sommes entourés d’affection, chacun est seul, tout seul à mourir.
— Larguons donc toutes les amarres ! Préparons-nous constamment à ce passage, qui nous conduira à la présence éternelle de la Très Sainte Trinité.
Références à la Sainte Écriture
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/881/ (29 sept. 2023)